Le sondage du jour

Les sondages se suivent et ne se ressemblent pas. Même si je reste sceptique quant à leur véracité, si je suis méfiant quant aux conditions dans lesquels ils sont faits, je suis comme tout le monde : dès que ça va mieux, j'y jete un oeil.

Or, ça va mieux depuis une dizaine de jours pour ma candidate préférée. C'est plus la tendance des courbes de sondages qui me plait, que les chiffres en eux mêmes. François MITTERAND a été élu en 1981 en terminant 2ième au 1er tour avec 25 % des voix. Bien sur le PC était à 18 % et Chirac a trahit Giscard. Mais bon, ne boudons pas notre plaisir.

Surtour que dans quelques jours, les courbes de Sego et de Sarko vont se croiser, le "danger" Bayrou va s'estomper et les tirs contre Segolène vont reprendre.

Ouaf Ouaf

La force de conviction

Hier soir, rien que pour Elle, 3 heures de direct sur France 2.

Oublié le mois de janvier calamiteux, les pseudo bourdes et les croche-pieds de ses "camarades", de la Droite -qui joue son role, elle est bien obligée de faire feu de tout bois - et, mais là c'est moins glorieux, des médias qui avaient trouvés leur tête de Turc.

Ségolène était hier à la hauteur de ce qu'on attend d'elle. De ce que l'on attend d'une Présidente, n'entrant pas dans le détail d'un "Secrétariat d'Etat" mais donnant un cap.

Ce qui m'a le plus frappé, c'est la modernité de la pratique qu'elle entend faire du pouvoir quand elle sera élue. Rénovation des institutions, diaogue social, participation des citoyens.

Alors, oublions le comptage des sous-marins - combien y en a-t-il ? Personne n'a encore répond à cette imminente question posée par un journ... un je sais pas quoi d'une station méridionale - oublions les trahisons (si Sarko était élu, Besson serait sans doute ministre).

Le 22 avril au soir, il y aura Ségolène au second tour. Contre qui ? Le Pen, Bayrou ? Sarko ? A voir le sens des sondages - leur évolution - comme Emmanuel TOTD sur France Culture la semaine dernère, je pronostique un second tour Sego Vs Le Pen.

A suivre

Ouaf Ouaf

qu'est ce qu'elle fout avec lui ?

Une grande figure de la politique française, populaire, qui fut progressiste en son temps a rejoint le clan Sarkosy. Cette grande dame a réussit le tour de force sous Giscard de faire adopter, grace aux députés de Gauche, la loi légalisant l'avortement. On se souvient également de ses prises de psotion anti-Le Pen.

J'imagine le désarroi de "l'arme anti Bayrou" de l'UMP a a dernière propostion du petit nicolas : Le ministère de l'immigration et de l'identité Française ! La dernière fois que la France a connu ce type de ministère, c'était en 1941, il était dirigé par Xavier-Vallat, fusillé à la Libération, cela s'appellait le Commisariat aux questions Juives...

Mme Veil, au nom de tout ce que vous avez vécu, de tout ce que vous avez fait, il est encore temps pour vous de dénoncer ce racolage insupportable du candidat UMP des électeurs du FN et de quitter cet alliance contre nature et déshonorante.

Les victoires de la musique (que les jeunes ils aiment...)

Le clip de l'année sur le blog d'opium !!!

Kamini - Marly-Gomont

et ma chanteuse 2006 préférée (le chti 31 n'a même pas été capable d'en parler de notre petite sudiste !!

Olivia Ruiz - J'traîne des pieds

Le retour de la boulette (mais non pas Sego ... Diams)

Diam's - La Boulette (par Restless)

Airbus : Toulouse touchée au coeur

Deux logiques politiques s’affrontent

Le dossier Airbus est exemplaire. Deux bilans et deux logiques s’affrontent :
Alors que la Gauche a permis que se constitue une entreprise européenne, leader mondial, dans un domaine stratégique, la Droite l’a laissée à l’abandon et à la merci des intérêts privés.

Aujourd’hui, alors que Ségolène Royal propose un plan d’action permettant une relance ambitieuse d’EADS afin de défendre notre industrie et l’emploi, Nicolas Sarkozy est à la recherche d’un improbable partenaire privé. Il est passif devant la crise et soumis à la logique du marché.
Son principal porte-parole, François Fillon, déclare même que « les gouvernements ne doivent pas trop se mêler de l’organisation industrielle d’Airbus. »
Et Nicolas Sarkozy, lui-même, suggère un désengagement de l’Etat en affirmant que celui-ci « n’est pas un actionnaire avisé ». Il est vrai que monsieur Lagardère dit de Nicolas Sarkozy qu’il ne le considère « pas comme un ami, mais comme un frère ».

Alors que se joue l’avenir d’Airbus, l’engagement de Ségolène Royal c’est agir juste et tenir parole.


oauf ouaf